Naruto Daiki Kaerikaze
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 Misory Kobayashi

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AuteurMessage
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MessageSujet: Misory Kobayashi   Misory Kobayashi I_icon_minitimeLun 28 Fév - 0:17



    MISORY

    NOM - PRENOM : Kobayashi Misory

    AGE : Dix sept ans

    SEXE : Féminin

    VILLAGE : Suna

    Déterminée - Généreuse - Persévérante - Méfiante - Courageuse


PHYSIQUE


  • Couleur des yeux : Bleu

    Couleur des cheveux : Bleu

    Taille : Un mètre cinquante cinq

    Poids : Cinquante kilogrammes

    Corpulence : Plutôt fine

    Autre Détail : Tatouage sur le bras gauche "01"


ATTRIBUT


  • Affinité : Suiton

    Spécialité : Ninjutsu

    Clan : Aucun

    Arme : Fouet de quatre mètres de long

    Kekkai Genkai : Aucun

    Bijuu : Aucun



HISTOIRE




Je ne me souviens pas de mon enfance. Elle est trop lointaine à mes yeux. Elle n'est qu'une petite, une infime partie de moi-même. Surement la meilleure, soit dit en passant. La meilleure époque de ma vie, celle où j'avais encore des rêves et des espoirs. Mon enfance, en tant que petite fille « normale » s'est arrêtée lors de mes huit ans. J'ai été enlevé à ma famille et je ne l'ai plus jamais revue. Au passage, je ne suis même pas certaine d'avoir déjà eu une famille : Des parents, peut-être. Étaient-ils gentils ? Probablement, comme tous les parents du monde envers leurs enfants. Je ne savais pas qui étaient ces personnes qui m'ont enlevée, et je ne le sais toujours pas. J'aimerais dire que je me vengerais, je les punirais pour avoir gâché ma vie, mais c'est trop s'avancer. Dire beaucoup de choses qu'on ne pourra jamais faire puisque je n'ai rien qui puisse me mener à « eux ». Pourtant, j'ai dans l'espoir de les croiser un jour. Le traumatisme de ma jeunesse pourra peut-être me permettre, en un regard, de les reconnaître, de voir en eux toute l'horreur qu'ils m'ont fait subir, à moi et à beaucoup d'autres enfants de mon âge.
Peut-être aimeriez-vous savoir ce que m'ont fait mes ravisseurs? Quelle est cette chose qui m'a volé mon enfance, m'a empêché de vivre comme tout le monde ? Vous êtes loin de savoir ce qu'ils ont fait, ce qu'ils m'ont fait. Je suis certaine d'être l'une de ces rares enfants à avoir eu un surplus de punitions, de souffrance, de douleur.

_____


Lors de cette nuit, cette sombre nuit, je fus enlevée à mes parents, mise dans un sac de tissu et emmenée loin, dans un lieu dont je ne connais pas la localisation. Je n'ai jamais su où j'étais, même lorsque j'ai réussi à m'échapper, je n'ai pas su le chemin emprunté pour retourner dans une vraie civilisation. Mes parents dormaient probablement dans la chambre d'à côté, comme toujours, et les kidnappeurs étaient venus doucement dans la maison qui n'était jamais verrouillée, du à une trop grande confiance de la part de mes géniteurs. Je voulais crier, crier de toutes mes forces, mais rien ne sortait de mes lèvres. Ils m'avaient mis quelque chose sur la bouche. Ils avançaient sans faire attention et balançaient brusquement le sac d'avant en arrière. J'avais une forte envie de vomir, mais ils n'en avaient rien à faire. Pour eux, je n'étais qu'un objet. Je gesticulais comme je pouvais, dans le but de m'échapper. J'avais encore un petit espoir, mais cela ne suffit pas. Je finis par les énerver et ils m'assommèrent pour que je sois plus calme.
Je me suis réveillée, plus tard, dans une cellule, vide. Quelqu'un me surveillait, quelqu'un au regard étrangement sombre. Il me regardait, attendait certainement que je me réveille pour me faire quelque chose d'atroce. À huit ans, on ne peut pas vraiment se rendre compte des choses qui nous entourent. Tout ce que je savais, c'est que j'allais souffrir, énormément souffrir. Je me souviens de ce qu'il m'a dit, l'homme au regard noir, qui guettait mes faits et gestes à travers les barreaux :

« Prépare-toi à avoir mal, pendant de très longues années, petite. »

J'étais effrayée, et encore, le mot est faible. Il ouvrit la cellule et m'attrapa par le bras. Il tirait si fort que j'avais l'impression que ma peau s'arrachait au fil de mes pas. Il m'emmena dans un endroit où il y avait beaucoup d'enfants : Beaucoup de jeunes garçons mais encore plus de jeunes filles. Ils travaillaient tous sans relâche, construisaient des tonnes de choses dont je ne connaissais pas l'utilité. L'homme m'attacha à une chaîne, par terre et me donna du travail afin que je me mêle à tous les autres. Comme il l'avait dit, pendant de très longues années je dû travailler, mettre corps et âme à l'épreuve pour qu'on me laisse tranquille. Je me rebellais souvent, c'est vrai, et à chaque fois, on m'emmenait voir certaines personnes et, pendant des heures, je me faisais fouetter. C'était très douloureux, certes, mais il y avait pire encore. Pour faire perdurer ma souffrance, on me forçait à fouetter les autres enfants qui ne faisaient pas ce qu'on leur demandait. Les voir, les larmes aux yeux, tentant de ne pas crier tellement ils avaient mal, c'était insupportable. Je crois que je n'ai jamais eu une plus grande honte dans ma vie, bien que je n'eus jamais la liberté d'arrêter cela. Dans ce genre d'endroit, on se sent seul, très seul. On a l'impression d'être un rejet de la nature, quelque chose qui n'a aucun mérite de continuer à respirer, à vivre.

_____


Je ne voyais jamais le bout de mes travaux. Une fois terminés, on me redonnait une tonne de choses à faire. Je ne m'arrêtais jamais. De temps en temps, les gardes étaient généreux et nous laissaient manger un petit bout de pain en s'asseyant pendant cinq minutes. Ces rares moments étaient privilégiés et nous en profitions comme nous pouvions avec les autres. C'était toujours le même garde qui nous offrait ce petit moment de récréation. Lui, contrairement aux autres, était plutôt une personne sympathique. Il essayait d'avoir l'air méchant et cruel, comme les autres, pour bien faire son travail et pour ne pas se faire renvoyer, mais nous, les jeunes, nous pouvions voir en lui qu'il n'était pas comme ça. On ne pouvait pas lui en vouloir, à lui, de faire ce qu'il faisait, parce qu'au fond, il ne le voulait pas. Je suis certaine que s'il avait pu, il aurait arrêté de faire tout cela.
Un jour, lors de mes treize ans, je tenta de lui parler. Je voulais lui faire part de mes sentiments et je voulais surtout que lui me fasse part des siens. Je voulais vraiment savoir quelle était sa position dans l'histoire mais aussi et surtout s'il connaissait un moyen de s'échapper d'ici. Dans une discrétion complète, il m'expliqua que si tout le monde se rebellait en même temps, étant donné le peu de gardes présents, nous pourrions prendre le dessus et nous échapper par « la grande porte ». J'étais déterminée plus que tout, je voulais arrêter ce calvaire. Grâce au bouche à oreille, je pu convaincre un grand nombre d'enfants de marcher avec moi pour que nous soyons enfin libre. Cependant, beaucoup avait trop peur que l'ennemi ait l'avantage et, de ce fait, d'en subir de graves conséquences. Je n'y prêtais pas attention puisque avec le nombre important qui était avec moi, on ne pouvait que réussir.
Le grand jour était arrivé. À l'aide de notre ami le garde, nous nous sommes tous libérés de nos chaînes et nous avons couru vers la sortie. Les gardes tentaient de nous en empêcher, mais nous étions trop nombreux. Ils n'avaient pas prévu une aussi grande manifestation de la part de nos si petits corps. Tous ceux qui ne voulaient pas risquer leur vie se libérèrent aussi et nous suivirent vers la sortie. Le garde, pour continuer dans son élan de bonté, avait fait venir des bateaux qui nous emmèneraient loin d'ici. Nous sommes sortis après avoir neutralisé la totalité des gardes et nous nous sommes enfuis sur ces grands bateaux. Nous avons tous dormis, pendant plusieurs jours. Nous étions épuisés puisque nous ne dormions presque pas d'habitude. Nous sommes tous arrivés au pays du vent, à Suna. Certains y sont restés pour commencer une nouvelle vie, les autres sont partis dans d'autres pays, d'autres villages.

_____


Personnellement, je suis restée dans le village de Suna. À partir de ce moment, tout a changé. J'ai rencontré des ninjas, et j'ai voulu devenir comme eux. J'ai appris à maitriser le Suiton et je m'améliorais de jour en jour. Du jour de mon escapade jusqu'à aujourd'hui, j'ai appris à maitriser un bon Ninjutsu. J'ai également amélioré ma technique de combat en utilisant un fouet, le fouet qu'on m'avait « confié » là-bas.. J'ai juré, que lorsque je les retrouverais, si je les retrouve, de leur faire subir, avec ce fouet, tout ce qu'ils nous ont fait... J'ai rencontré beaucoup de personnes. Mon seul but était de me venger, mais il y avait d'autres choses. Je ne devais pas me laisser ronger par tout cela, je devais changer, changer de vie. J'avais eu cette magnifique chance de pouvoir m'en sortir, il fallait dès à présent que je me reconstruise. Peut-être que j'allais voyager, je ne savais pas encore. Aujourd'hui, j'ai dix sept ans, et je m'entraine encore comme je peux pour devenir puissante et rencontrer d'autres ninjas de mon niveau...
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MessageSujet: Re: Misory Kobayashi   Misory Kobayashi I_icon_minitimeLun 28 Fév - 0:53

Bienvenue sur le forum. Avant toutes choses je vais te dire quelques points négatifs et positifs pour t'aider à améliorée tes RP.

Points négatifs :

Le texte est trop "égal" et c'est tout ce que j'ai à te reprocher (Je t'expliquais ce que j'entends par "égal" lors de la conclusion).

Points positifs :

Aucune fautes, beaucoup de détails dans les décors et expressions.

Conclusion :

La qualité et la quantité sont présentes et cela est excellent. La seule chose manquante est l'esthétique. Je te conseillerais de mettre des couleurs pour les paroles et les pensées, ou alors du gras ou de l'italique.

Je te valide donc en tant que Genin du village de Suna, au niveau 7.

Présentation validée.

Je t'invite à faire la fiche technique et également de mettre à jour la feuille de ton personnage.
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Misory Kobayashi

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